Mannequin reconnue dans son pays, l'auteure a fui Téhéran où elle était en danger, la police religieuse punissant l'atteinte à la pudeur d'au moins 1.044 coups de fouet. Photographe, elle mettait en scène ses tatouages et sa nudité comme un hymne à la liberté et à l'émancipation. Arrivée à Paris, elle n'est plus qu'une réfugiée. Elle raconte son long combat pour obtenir l'asile politique.