Le guitariste britannique s'est entouré pour la seconde fois de Glyn Johns (The Eagles, The Rolling Stones, Led Zeppelin, et The Who) avec qui il avait collaboré sur Slowhand, son sixième album solo sorti en 1977, certifié triple disque de platine dans le monde.

''180'' est le nom du studio ou tout a commencé pour le groupe londonien. On retrouve dans cet album toute la spontanéité et l'énergie communicative du groupe sur scène mais aussi ses dons de mélodiste, véritable marque de fabrique des grands groupes de rock anglo-saxons. Comparé inévitablement aux Libertines et The Vaccines, le groupe rappelle aussi The Clash, tout en faisant preuve d'une identité et d'une maturité très forte pour un 1er album.

Ce disque aux teintes gospel contient plusieurs chansons traditionnelles considérées depuis longtemps par la chanteuse comme sacrées. Des titres originaux, composés par les invités tels que Angelique Kidjo, Me'Shell N'Degeocello ou Toshi Reagon complètent le reste de l'album.

Entièrement écrit et composé par la jeune chanteuse elle même, ce premier album a été produit par Louis Bertignac.

Mieux vaut 40 ans plus tard que jamais... ''Ready to die'', le successeur du seul album jamais signé sous le nom de ''Iggy & the Stooges''' (le chef-d'oeuvre absolu ''Raw power'' sorti en 1973) paraît sur le label Fat Possum. On y retrouve les légendes vivantes du rock Iggy Pop, le guitariste James Williamson et le batteur Scott ''Rock Action'' Asheton accompagnés de Mike Watt à la basse, réunis pour un album studio exclusivement composé de morceaux originaux. On replonge immédiatement à son écoute dans l'univers déchaîné de ''Raw power'' mais aussi des albums que Iggy enregistra avec James Williamson dans les années 70, les exceptionnels ''Kill city'' et ''New values''. Des guitares dévastatrices, une rythmique implacable, Iggy en très grande forme...